France vallée

IA INNOVATIONS DISRUPTIVES

FRANCE VALLÉE,

APPRENTISSAGE

ALGORITHMIQUE

ET RÉVOLUTION

Par contre, le développement et le progrès sont des enjeux pour vos entreprises. De même, ils sont au cœur de la plupart de vos projets. En novembre 2021, une étude de l’IEEE, Institute of Electrical and Electronics Engineers, annonce l’Intelligence Artificielle catalyseur de la majorité des innovations dans les 5 prochaines années. De même, l’apprentissage automatique, le cloud computing et la 5G sont les technologies qui favorisent ces mutations en cours. De plus, en matière d’innovations, la France est cinquième au monde derrière les États-Unis, le Japon et la Chine. Alors, sans pour autant remonter aux génèses de l’Intelligence Artificielle. Pourquoi donc, l’IA est le moteur moderne de vos innovations disruptives ?

IA et innovations disruptives moteurs de la révolution.

Par ailleurs, d’après le baromètre annuel de l’innovation de l’Office Européen des Brevets, OEB, la France se classe deuxième en Europe avec 10.537 demandes de brevets. Ainsi, elle arrive derrière l’Allemagne.

Quatre grandes catégories d’innovations.

Toutefois, selon le manuel d’Oslo de l’OCDE, Organisation de Coopération et de Développement Économiques, les innovations se classent en quatre catégories distinctes. À savoir,

• les innovations de produit,

• ensuite, les innovations de procédé,

• enfin, les innovations d’organisation,

• et au surplus, les innovations marketing, qui sont en lien avec tous les aspects de la commercialisation de vos produits ou services, dont le conditionnement, la communication, le prix etc.

IA et innovations disruptives en réponse aux besoins de vos consommateurs.

En effet, en économie, l’innovation concerne, soit les caractéristiques d’un produit, soit son mode de fabrication ou de distribution ou encore l’organisation d’une entreprise. Donc, innover c’est améliorer un produit ou un service grâce à une invention. Ainsi ,pour l’économiste Joseph Schumpeter, l’innovation c’est l’exploitation d’une invention.

Qu’est-ce-que l’Intelligence Artificielle ?

Cependant, selon le rapport de IDC, le marché mondial de l’Intelligence Artificielle atteint 342 milliards de dollars en 2022. En l’occurrence, l’Intelligence Artificielle, IA, fait référence à des programmes informatiques, des systèmes ou des machines. Alors, ces référents vous permettent de simuler des capacités humaines ou une forme de l’intelligence humaine pour effectuer des tâches.

IA, apprentissage et innovations disruptives.

De plus, ces programmes informatiques peuvent s’améliorer en fonction de la collecte des informations par itération.

Trois entreprises françaises dans le top 50.

D’abord, la France compte trois entreprises dans le top 50 de l’OEB, Office européen des brevets. Ainsi, l’équipementier aéronautique Safran se place au 33^e rang mondial, +27,4% en terme de demandes de brevets.

IA, durabilité et innovations disruptives

Ensuite, en 2021, le CEA se positionne numéro un mondial des brevets sur les technologies vertes. Et enfin, Valeo, 500 demandes de brevets, grâce à une forte croissance de 28,2%.

L’Île-de-France, principal pôle des demandes de brevets.

Par contre, en France, l’Île-de-France concentre les deux tiers des demandes de brevets Françaises. Mais, elle reste la seconde région la plus dynamique d’Europe, derrière la Bavière, Allemagne.

Innovations disruptives et champs d’intervention d’IA.

Par ailleurs, l’Intelligence Artificielle couvre aussi bien l’informatique, les neurosciences, le langage, que les mathématiques, la philosophie et les sciences cognitives.

L’Intelligence Artificielle dans le commerce numérique.

C’est pourquoi, vous implémentez l’Intelligence Artificielle sur différents appareils et applications. à savoir, les serveurs, les moteurs de recherches, les robots, les smartphones, les enceintes connectées ou encore votre magasin électronique.

IA, métavers et innovations disruptives.

Effectivement, les GAFA, Google, Apple, Facebook, Amazon et les NATU, Netflix, Airbnb, Tesla, Uber sont au travail pour faciliter l’avenir du monde virtuel via des solutions innovantes. Ainsi, vous faîtes émerger par exemple le métavers.

Un nouveau monde jumeau virtuel.

Concrètement, le métavers désigne un monde jumeau virtuel. Vos utilisateurs y ont accès grâce aux technologies immersives, en l’occurrence les lunettes virtuelles. C’est aussi une fusion entre le monde réel et un monde virtuel connecté et persistant via la réalité augmentée.

IA, NFT et innovations disruptives.

En revanche, un NFT est un jeton unique qui ne peut pas être remplacé par un autre. En fait, c’est une ligne de code informatique. C’est aussi un certificat digital dédié à un seul objet ou une œuvre numérique. En définitive, Le NFT valide l’authenticité de cet objet. Toutefois, c’est un jeton dématérialisé et sécurisé par la technologie de la Blockchain, comme les cryptomonnaies.

Un marché NFT attractif.

Néanmoins, vous achetez des maisons, des œuvres d’art, et bien d’autres produits avec des NFT. En mars 2021, la célèbre maison de vente aux enchères Christie’s, vend un tableau sous format numérique pour 69,3 millions de dollars. De même une maison virtuelle sur la planète Mars de l’artiste américaine Krista Kim rapporte l’équivalent de 560.000 dollars.

IA, métavers et innovations disruptives, le robot Ameca.

D’une part, la Société Engineered Arts est le créateur du robot Ameca. En effet, ce robot est au cœur de débats. Et, il doit voir le jour courant 2022. En réalité, Ameca est capable de montrer des expressions humaines et naturelles. À savoir, l’étonnement, la confusion ou le sourire.

Un robot révolutionnaire.

D’autre part, le robot Ameca peut faire le geste de bienvenue. D’ailleurs ce robot fait un tabac aux derniers CES, Consumer Electronic Show à Las Vegas. Tellement, Ameca ressemble à un être humain, qu’il va révolutionner l’avenir du monde.

IA symbolique et innovations disruptives.

Ici, c’est l’humain qui définit les règles de fonctionnement de l’algorithme. Aujourd’hui, vous utilisez de moins en moins cette façon de faire.

La montée en puissance des algorithmes.

Au final, un algorithme est une recette. Donc, c’est une suite d’instructions précises pour transformer des ingrédients. C’est-à-dire, passer des données brutes, les ingrédients, en un plat précis, le résultat.

IA, apprentissage automatique et innovations disruptives.

En concret, dans le cadre de l’apprentissage automatique, le programme apprend seul. Ainsi, il exploite des données, s’appuie à minima sur des algorithmes. Par conséquent, il s’exerce à reconnaître des motifs, des images, des sons etc. Enfin, le machine learning utilise des réseaux neuronaux artificiels, pour imiter la façon dont les êtres humains prennent des décisions.

Le deep learning ou apprentissage profond.

Or, le deep learning ou apprentissage profond se dérive du machine learning, apprentissage automatique. De fait, c’est un sous groupe de l’Intelligence Artificielle. Dans ce cadre, chaque réseau neuronal se concentre sur une couche spécifique de la tâche à apprendre. D’ailleurs, les réseaux neuronaux numériques sont des ensembles d’algorithmes qui s’inspirent de ceux des neurones biologiques.

IA, apprentissage supervisé et innovations disruptives.

Au préalable, le technicien associe des images, des sons ou autres aux mots qui les désignent. Ensuite, l’algorithme s’entraîne sur cette base de données en effectuant une tâche. Calcul, prédiction, identification d’un objet, création d’un contenu, etc.

Les données similaires.

Sinon, l’algorithme est capable de reconnaître une donnée similaire mais ne figurant pas dans la base d’entraînement. Par exemple, l’apprentissage profond, qui traite plusieurs couches successives de données, est une forme d’apprentissage supervisé.

IA, apprentissage non supervisé et innovations disruptives.

Toutefois, vous êtes dans le cadre d’un apprentissage non supervisé, quand, l’algorithme apprend seul en regardant des données sans étiquettes. Ainsi, il comprend par lui-même comment classer les données et définit ses critères. De même il arrive à déterminer ce qui les rapproche de ce qui les différencie.

L’apprentissage par renforcement.

En pratique, sans dire en quoi il agit bien ou il agit en mal, le technicien envoie à l’algorithme des signaux positifs, qu’on appelle, récompenses et des signaux négatifs. Ainsi, l’algorithme s’améliore au rythme des entraînements de renforcement. Finalement, il adopte le comportement requis à force de recevoir et de collecter les signaux. En définitive, l’algorithme apprend, fait des erreurs et donc progresse.

IA, apprentissage humain et innovations disruptives.

Néanmoins, ce mode d’apprentissage autodidacte est très proche de l’apprentissage humain. En tout état de cause, vous les utilisez pour les Intelligences Artificielles de jeu. D’ailleurs, l’entraînement d’AlphaGo Zero de DeepMind se fait comme cela. En fait, c’est de cette manière qu’il apprend et dispute les parties du jeu de Go.

L’apprentissage par modélisation.

Dans ce contexte, sur une base d’ensemble de lois, de règles et de modèles de comportements, l’algorithme contextualise l’application des règles. Alors, il prend une décision ou donne un résultat.

IA, apprentissage incrémental et innovations disruptives.

En outre, dans ce type de dispositif, l’algorithme embarque en local sur l’appareil, des capacités d’analyse et de stockage. Ainsi, il ne passe plus par des relais serveurs en l’occurrence distants. Par conséquent, l’algorithme améliore ses calculs et prédictions en continu. Surtout, à partir de données qui se mettent à jour en permanence.

La stratégie de l’océan bleu.

Tout compte fait, les chercheurs de l’INSEAD, Institut européen d’administration des affaires, W. Chan Kim et R. Mauborgne, caractérisent le concept en 2005. En effet, l’océan bleu s’oppose à l’océan rouge, dans lequel la concurrence fait rage.

IA, avantages compétitifs et innovations disruptives.

Autrement, il s’agit de s’aligner sur le marché. Puis, de créer une nouvelle demande afin de pouvoir exister seul. De même, vous créez les conditions pour évoluer dans un environnement que vous maîtrisez. Et, sans concurrence. Ainsi, la stratégie de l’océan bleu vous montre que vous pouvez aussi innover en créant ou en modifiant un marché. C’est pourquoi, une innovation constitue un avantage compétitif pour votre entreprise.