BASE DE DONNÉES OPEN SOURCE

LA TECHNOLOGIE

DE LA CHAÎNE

DE BLOCK

En effet, la technologie de la Blockchain est open source. Donc, les codes sont gratuits d’utilisation et de reproduction. Ainsi, les savoirs informatiques se libèrent en vue de leur vulgarisation. Toutefois, la Blockchain est un protocole informatique, tout comme Internet par exemple. Alors, elle vous permet de créer des applications. De même, Joicho Ito, célèbre entrepreneur web et dirigeant du MIT Media Labs, de 2011 à 2019, affirme, J’ai l’intuition que la blockchain sera à la banque, au droit et à la comptabilité ce qu’Internet a été aux médias, au commerce et à la publicité. Quels sont donc les éléments de la souveraineté du Bitcoin de la Blockchain ?

Le concept de la base de données open source de la technologie de la Blockchain.

D’une part, la Blockchain vous permet d’échanger de biens et services de façon sure et irréversible. Alors, elle exhibe clairement les preuves de son inviolabilité. Ainsi, la méthode de la chaîne de blocs vous permet de stocker et de transmettre des informations de manière transparente, sécurisée et sans organe central de contrôle.

La Blockchain comme une technologie disruptive.

D’autre part, la Blockchain est une base de données. Et elle contient l’historique de tous les échanges de ses utilisateurs depuis sa création. En définitive, la Blockchain est sans aucun doute une technologie disruptive.

Les traits distinctifs de la base de données open source de la technologie de la Blockchain.

Surtout, la Blockchain est une technologie,

  • immuable et Inaltérable. Car, vous ne pouvez pas modifier toute information inscrite dans la Blockchain,

  • décentralisée et distribuée. En effet, l’architecture informatique est sans aucun point d’origine ni aucun mur porteur.

La Blockchain sur une architecture décentralisée.

Alors, vous notez qu’une architecture décentralisée comprend différents points identiques. Et, ces points se répartissent à différents endroits. Cependant, chaque point est capable de prendre des décisions et d’effectuer des opérations sur le système. Au final, la Blockchain n’est pas hébergée chez un serveur unique, mais par tous les utilisateurs du système.

Comment la base de données open source de la Blockchain certifie sa solidité ?

En effet, une architecture décentralisée par opposition à une architecture centralisée est beaucoup plus sécurisée. Car, il est très difficile d’attaquer tous les composants du système en même temps. Et lorsqu’un élément de la chaîne de blocs est défaillant, les autres prennent le relais illico presto. Ainsi, la Blockchain démontre sa robustesse. Idem pour une architecture distribuée.

Pourquoi l’affectation de fonctionnalités sur les architectures distribuées ?

Toutefois, une architecture distribuée est identique à une architecture décentralisée. Seulement, chaque point d’une architecture distribuée peut avoir sa fonctionnalité. Exemples, une fonction de stockage d’information, de puissance de calcul, de prise de décisions etc.

Quelles sont les ressources de la base de données open source de la technologie de la Blockchain ?

Néanmoins, la Blockchain s’inspire et se base sur la cryptographie et l’horodatage des documents digitaux. Donc, dans cette architecture décentralisée chaque utilisateur valide les différents contrats en mettant en commun la puissance de calcul de tous les utilisateurs. Nota Béné, la Blockchain valide les transactions par blocs. Et, un block est un paquet d’opérations.

La Blockchain est une base de données difficilement piratable.

De plus, la Blockchain est inviolable. Et, elle garantit des données inscrites non modifiables. C’est-à-dire, des données inscrites de façon permanente. Donc, la Blockchain est infalsifiable. Car, une fois enregistrées dans les blocs, les informations ne peuvent plus être modifiées ni supprimées. En définitive, avec cette technologie, le document électronique peut avoir autant, voire plus de valeur probante que le papier.

Une base de données open source sur un système décentralisé.

D’ailleurs, le système décentralisé, en multipliant les copies, offre également une garantie contre le piratage. Dès lors, la Blockchain peut légitimer l’enregistrement de données que les autorités peuvent authentifier et certifier. Dans ce cadre, vous avez les actes de naissance, les diplômes universitaires, les permis de conduire, les actes de propriétés, les pièces d’identité, les contrats d’assurance et les documents officiels.

L’avènement des contrats dans un univers dématérialisé.

Cependant, la Blockchain ouvre une nouvelle ère, celle des smart contracts. Ce sont des contrats que vous codez directement dans la Blockchain. Par contre, ces contrat s’exécutent de façon décentralisée par tous les nœuds du réseau. Leur application est donc garantie et automatique une fois les conditions requises atteintes. Car, ils s’exécutent de façon autonome. Ainsi, Axa permet d’indemniser les les passagers d’un vol qui a du retard par exemple.

D’autres applications opérationnelles de la technologie de la base de données open source de la Blockchain.

Désormais, dans l’agroalimentaire, vous tracez et suivez vos produits de façon beaucoup plus efficiente. Par exemple, Carrefour est un précurseur avec son QR code qui permet de tout savoir sur l’origine d’un produit, provenance, nom du producteur, date d’empaquetage etc. Par conséquent, cette technologie permet à la grande distribution de tracer plusieurs types d’aliments, poulet, tomate, œuf etc. De même, dans la finance, les recherches avancent sur la mise en place de titres digitalisés et enregistrés dans la Blockchain.

La Blockchain est librement consultable via le Blockchain Explorer.

De fait, quiconque appartenant au réseau peut suivre toutes les opérations en temps réel. Parce que, la transparence y est totale. Or, tous types de biens et services s’échangent en continu H24 et 7sur7. D’où, la multiplicité d’opportunités qui s’offrent à cette technologie. Car, dans le monde, à tout moment, des transactions financières s’opèrent entre des individus, des sociétés et des prestataires.

Les process sécurisés de la base de données open source de la Blockchain.

Sinon, toutes ces opérations subissent des process précis et dans des normes bien standardisées. En effet, aux étapes de la vérification des comptes, des soldes s’enchaînent celles des calculs de garanties et des solvabilités etc. Par ailleurs, les échanges nationaux et internationaux sont normés pour protéger les individus citoyens lambda.

Une Blockchain pas encore optimisée.

À l’heure actuelle le nombre d’opérations par blocs dans la Blockchain est bridé. Par conséquent, tous les habitants de la planète, c’est-à-dire, 7.874.966 000 en 2021, ne peuvent pas accéder à la Blockchain en simultané.

La base de données open source de la jeune technologie de la Blockchain.

Autrement, la Blockchain existe depuis le 03 janvier 2009. Donc, le temps nécessaire pour sa maîtrise technique et sa pleine exploitation technologique est à venir. Toutefois, Marc Andreessen, pionnier du web et fondateur de Netscape, compare en 2015 la situation de la Blockchain Bitcoin à l’état de développement du protocole TCP/IP de 1994. C’est-à-dire à l’âge de la préhistoire d’Internet, Wanadoo, Club Internet, Alta Vista, Lycos etc. Ou encore à l’ère du web sans ADSL.

Les défis et challenges de la technologie de la Blockchain.

Par contre, la Blockchain doit répondre à différents enjeux propres à toute innovation dont,

  • sa scalabilité ou capacité à croître, à grandir et acquérir de plus en plus d’utilisateurs. Néanmoins, vous estimez qu’à l’heure actuelle la Blockchain compte environ 500 millions d’utilisateurs.

  • l’amélioration du nombre de transactions par blocs et la vitesse de transaction. À titre indicatif, le réseau Bitcoin traite une poignée de transactions par seconde quand un opérateur de carte bancaire en traite des milliers par seconde.

L’accessibilité de la base de données open source de la Blockchain.

D’une part, la technologie de la Blockchain doit encore proposer de meilleures interfaces utilisateurs. Donc, elle intègre les meilleures solutions du design utilisateur pour vulgariser l’accès à cet écosystème. D’ailleurs, les smartphones sont en train de rendre disponible, des portefeuilles de cryptomonnaie dans leur logiciel.

Vers une Blockchain écoresponsable.

D’autre part, la technologie de la Blockchain travaille à réduire ses dépenses énergétiques via des algorithmes moins énergivores que la preuve de travail, PoW. Toutefois, cet enjeu technique est primordial. Dans la mesure où, les technologies du futur se recentrent progressivement sur des valeurs et des critères de l’économie responsable. Soucieuse de son environnement. Enfin, les autorités officielles tendent à stabiliser l’environnement réglementaire.

Le cadre juridique de la base de données open source de la Blockchain en France.

En revanche, c’est une première en Europe. En effet, le conseil des ministres adopte début décembre 2017 une ordonnance qui permet le transfert de propriété de certains titres financiers via la Blockchain.

L’offre de solutions rapides, sures, transparentes et accessibles.

En revanche, L’utilisation de cette technologie permettra aux fintech et aux autres acteurs financiers d’offrir de nouvelles solutions pour les échanges de titres, des solutions plus rapides, moins chères, plus transparentes et plus sûres, renchérit le Ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire.